Mais où est Melkior ?

Toujours pas de nouvelles pour le projet Amer6. J' ai eu un message de phillipe Lepeut pour me dire qu'il attendait une réponse dans les jours qui viennent. Il y a eu le finissage de l'exposition d'Antoine Lejolivet. On a fait de la sangria. antoine ma dit qu'il avait finalement pris le temps pour relire le texte qu'il m'avait demandé et qu'il l'a trouvé bien. J'ai acquiescé en hochant de la tête sans ajouté d'autres arguments. Non loin de la galerie se tenait un picnic sur la place, organisé par l'association des habitants du quartier Krutenau et environs. Mon chien n'a pas arrêté de vouloir s'y rendre. j'ai du l'attacher durant toute la soirée, jusqu'au momment où j'ai eu pitié de lui et où je l'ai libéré. Cest à partir de cet instant que tout a basculé dans un cauchemar pour le retrouver qui ne s'est terminé que le lendemain vers 10 heures du matin. Je me suis trouvé à faire le chemin en velo de chez moi à la galerie ainsi qu' à visiter tout les parcs allentours et pendant persque toute la nuit. A 6 heures du matin je suis allé voir à la SPA où j'ai revéillé la gardienne qui n'avait rien rentré de la nuit. j'ai pu néanmoins laissé mon numéro de téléphone au cas où. A 7 heure du matin j'étais désespéré chez moi, au bord d'une dépression favorisée par la nuit blanche et inquiète que je venais de passer. J'ai alors allumé la télé et suis tomber sur une émission dont le thème était le raport en homme et animal. Là je me suis un peu assoupi j'usqu'a l'arrivé de mon frère et son fils qui avaient déja redigé un avis de recherche avec la photo de Melkior. Vers 10 heures du matin le téléphone a sonné. «-Bonjour je m'appelle madame baillars, je suis avec votre chien et il va bien. il a passé la nuit chez moi, il a mangé et maintenant je suis à la campagne pour le faire courrir avec mon chien. J'ai du attendre l'ouverture de la SPA qui ma communiqué vos coordonnées. Je vous le ramène dans une heure. Donnez moi votre adresse.» j'ai enfin retrouvé Melkior vers 11 heures du matin. il n'avait pas vraiment l'air traumatisé à l'inverse de moi. Actuellement nous préparons l'exposition Les machines Désireuses. Nous avons repeint le sol de la galerie avec un beau gris qui recouvre tout les défauts qu'il y avait par terre. C'est beau. C'est comme tout neuf. Jef à dit que ça fait suréaliste. Aussi depuis quelques jours nous parlons déja du projet de l' année prochaine mais je préfère me taire pour l'instant étant donné qu'il reste pas mal de point à affiner. Nous en avons déja parlé lors du bureau qui s'est tenu dimanche dernier chez françoise à Imsheim dans le pays de Hanau, où nous avons été fortement encouragé à développer notre idée.