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2005 - Rencontre autour du film - Edvard Munch de Peter Watkins
Elisabeth Milon (historienne de l'art), George Heck (Vidéo les Beaux Jours) et La Coopérative Co-errances
le 26 avril 2005 à 20h30 au Syndicat Potentiel
Le film - Edvard Munch de Peter Watkins (2h54, 1973, Suède-Norvége, vostf) "Une biographie très subjective des jeunes années du peintre norvégien expressionniste Edvard Munch, aux prises avec les conventions de la société puritaine de son temps. Un film considéré par beaucoup comme la meilleure oeuvre jamais consacrée à l'acte créatif et à la peinture ("un travail de génie" selon Ingmar Bergman). A travers un montage audacieux qui revisite les techniques documentaires et narratives, Edvard Munch est un "cri" personnel autant qu'un portrait de l'artiste et de son milieu.
"Dans Edvard Munch, Watkins applique à l'histoire de l'art sa méthode pseudo documentaire. Nous rentrons, par de faux témoignages filmés, dans l'intimité d'un peintre et d'une époque, La fausseté du procédé confère a contrario sa qualité d'oeuvre. Ce film, qui invente une forme nouvelle pour enregistrer le mouvement de la création artistique sous ses différents aspects, et sous tous les angles possibles, est à lui seul un genre unique, mais sans descendance : sans doute le premier et le seul vrai film d'art contemporain." Jordi Vidal (écrivain)
le 26 avril 2005 à 20h30 au Syndicat Potentiel
Le film - Edvard Munch de Peter Watkins (2h54, 1973, Suède-Norvége, vostf) "Une biographie très subjective des jeunes années du peintre norvégien expressionniste Edvard Munch, aux prises avec les conventions de la société puritaine de son temps. Un film considéré par beaucoup comme la meilleure oeuvre jamais consacrée à l'acte créatif et à la peinture ("un travail de génie" selon Ingmar Bergman). A travers un montage audacieux qui revisite les techniques documentaires et narratives, Edvard Munch est un "cri" personnel autant qu'un portrait de l'artiste et de son milieu.
"Dans Edvard Munch, Watkins applique à l'histoire de l'art sa méthode pseudo documentaire. Nous rentrons, par de faux témoignages filmés, dans l'intimité d'un peintre et d'une époque, La fausseté du procédé confère a contrario sa qualité d'oeuvre. Ce film, qui invente une forme nouvelle pour enregistrer le mouvement de la création artistique sous ses différents aspects, et sous tous les angles possibles, est à lui seul un genre unique, mais sans descendance : sans doute le premier et le seul vrai film d'art contemporain." Jordi Vidal (écrivain)