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8 fevrier au 1er mars 2014 - BORDURES - Philippe Eydieu, Alexandre Lavet, Hugo Livet, Eric Maillet, Sebastien Remy, Marion Robin, Jean-Baptiste Sauvage
Michel Gaillot, philosophe et critique d’arts, enseignant à l’ESACM, nous convie à une exposition construite autour d’artistes formés ou ayant eu des liens avec l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole.
BORDURES
Philippe Eydieu, Alexandre Lavet, Hugo Livet, Eric Maillet, Sebastien Remy, Marion Robin, Jean-Baptiste Sauvage
VERNISSAGE LE VENDREDI 07.02 Á PARTIR de18h
EXPOSITION du 08.03 au 01.03.2013
En collaboration avec l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole
http://www.esacm.fr/
Au Syndicat Potentiel, 13 rue des couples à Strasbourg
T. +33 0(3) 88 37 08 72
"Bordures"
En premier lieu - et c'est donc là aussi un des enjeux ou du moins l'une des spécificités de cette exposition au "Syndicat Potentiel"-, du fait que tous les artistes qui y sont réunis sont ou récemment sortis d'une école d'art ou y sont eux-mêmes enseignants, il s'agit de donner à voir et à penser que ce qui se fait aujourd'hui dans ces lieux d'enseignements et de recherches ne relève pas seulement d'une propédeutique pédagogique permettant possiblement à ceux qui en sortent de rentrer, du moins "pour les meilleurs d'entre eux", dans le cercle fermé et sélectif du "monde" ou de la "scène" de l'art, mais participe déjà pleinement ou à part entière de ce qui ne cesse de s'ouvrir dans les formes que l'art ne cesse de créer. Ou dit autrement, est proposé ici d'expérimenter ceci que les formes sensibles qui sont produites dans ces écoles ne sont pas séparées catégoriquement par des frontières ou des bordures imperméables de celles qui valent aujourd'hui dans les lieux de reconnaissance ou d'élection que constituent les espaces institutionnalisés du monde contemporain de l'art.
Cela dit, sans prétendre que le travail respectif de chacun de ces artistes puisse s'y laisser réduire, ce qui a présidé à leur présence commune dans le cadre de cette exposition participe d'une approche ou d'une sensibilité artistique, telle qu'on peut déjà la voir à l'oeuvre dans bon nombre de leurs formes (notamment celles qui sont là présentées), qui relève de ce qu'on pourrait essayer de préciser sous ce terme de "Bordures".
En fait, ce titre "Bordures" est à entendre de multiples manières, à la mesure de l'ouverture du sens (en tous les sens du sens : sensible et intelligible, formel et conceptuel, plastique et esthétique...) que les propositions qui sont ici réunies, en s'en faisant l'espace d'accueil, laissent alors surgir et résonner en elles. Comme si déjà elles faisaient signe vers l'espace même de la représentation (celui-même du lieu), non pas directement comme un simple contenant ("White cube") qui pourrait alors indifféremment en exposer la présence, comme il le ferait en définitive avec tout autre type de propositions plastiques, mais plus précisément pour en avérer ou en révéler la nature même comme appartenant pour ainsi dire à part entière à ce qui s'ouvre en elles. Ou du moins comme si, en en traçant en quelque sorte les contours, elles incarnaient précisément elles-mêmes les bordures de cette ouverture. Car il n'est pas de sens qui ne s'ouvre, ne jaillisse et ne subsiste dans une oeuvre, sans une forme sensible qui en porte et en espace la venue (comme tel est le cas par exemple avec l'intervention de Hugo Livet à même le mur et le plafond de la galerie, où par des gestes singuliers il en vient à révéler l'espace même de représentation ou de monstration comme étant par, ou en lui-même, l'objet de cette représentation et dès lors comme étant la forme qui nous est là présentée et adressée).
Mais si cette notion de "bordures" fait en quelque sorte ici le lien ou le clinamen de ce qui réunit ces diverses formes plastiques, ce n'est en aucun cas pour en fixer ou en donner une signification (signification à partir de laquelle il serait du coup possible d'interpréter respectivement ou collectivement les enjeux plastiques, théoriques ou esthétiques de ces dernières...). Mais c'est déjà pour les situer ou situer leur ancrage dans l'horizon général de cette ouverture du sens au sein des formes sensibles qu'elles constituent à chaque fois singulièrement, en en assurant ou en en maintenant la venue en présence dans la matérialité même de leur espacement. Et cela afin que ce qui s'ouvre ou vienne là puisse venir faire sens sans se replier ou se fermer immédiatement sur lui-même, sans se réifier en une proposition dont la signification serait donnée et disponible, pour qu'enfin à l'ouverture qui est ainsi opérée ou formée, des bords lui soient assurés ou offerts. Ou dit autrement, en jouant quelque peu avec les mots, pour qu'au travers de ces formes plastiques, en elles ou par elles, voire comme elles, des bords durent et dans l'infini qui s'y maintient dès lors ouvert, du sens puisse venir nous y toucher.
Dès lors, pour que l'ouverture - en tous sens fouillée, infiniment creusée et de formes maintenue ouverte - ne puisse se fermer en une figure qui en dirait la totalité ou l'unité, qui en fixerait l'essence ou la vérité et en somme pour qu'en ces bordures de formes érigées, le sens - toujours singulièrement touché, accueilli ou invité en elles - ne cesse de venir, il s'avère nécessaire que cette incessante venue se fasse elle-même dans une forme qui en maintiendrait effective le jaillissement et l'accès. Ce qui précisément se fait dans ces formes sensibles et finies que, depuis les premiers traits de charbon gravés ou tracés sur les parois des grottes du Paléolithique jusqu'à aujourd'hui, nous identifions sous le terme d'oeuvres d'art. C'est en elles ou comme elles alors, dans leur espacement fini, que le sens infini vient à y passer et à "nous" y faire signe, sans que jamais cependant - bien que là à chaque fois résonnant - il ne puisse s'y fixer entièrement. Comme s'il était en fait toujours en débordement, dans tous ces bords incessamment formés, dont l'histoire de l'art nous livre en quelque sorte l'inépuisable renouvellement ou l'incessante renaissance, comme si dans ce passage incessant (dans toutes les formes, dans tous ces mots, ces sons, ces gestes ou ces images) il venait se présenter ou s'exposer, à "nous" ces passants qui sur ces bords, à l'accueillir et à le faire sentir ou toucher, en devenons les "passeurs".
S'y met alors en jeu "quelque chose" qui ne relève à proprement parler ni de ce qu'on nomme dans le lexique esthétique contemporain l'in situ, ni d'une simple critique du "White cube" où il s'agirait d'une énième tentative de critiquer, voire de subvertir les espaces "dédiés" ou "spécialisés" de monstration de l'art que sont les galeries, les musées et autres centres d'arts. Il s'agit plutôt dans cette exposition - notamment sur un mode quelque peu ironique ou sarcastique (comme avec le "Générateur de critiques d'art" de Eric Maillet ou avec la série de photographies "Vides" de Alexandre Lavet) ou sur un mode plus poétique (comme avec l'intervention sur place de Marion Robin, voire comme avec les installations vidéo respectives de Philippe Eydieu et de Jean-Baptiste Sauvage) ou encore sur le mode d'une mise en abîme fictionnelle de la figure de l'artiste-créateur (comme l'opère ici Sébastien Rémy avec la présentation de son site internet) - de considérer ce qu'on appelle communément "le monde" ou "la scène de l'art", y compris à travers ses lieux de monstration (comme en l'occurrence ici avec le Syndicat Potentiel), non pas seulement comme un espace "neutre" où l'art se donne à voir et s'adresse à un public, mais aussi ou surtout comme faisant également partie - dans ce qui s'y joue du point de vue intelligible comme sensible - de ce que les formes plastiques peuvent donner à voir ou plus généralement à sentir.
Au juste au lieu de sacraliser l'art en le maintenant isolé ou séparé du monde dans des lieux qui lui seraient précisément "dédiés", ces formes - sans cependant en faire leur thème ou leur question, c'est-à-dire sans prétendre relever d'un art dit "social", voire "politique" ou "subversif" - ne font au contraire que l'y convier ou l'y accueillir, comme si par là elles ouvraient en quelque sorte les murs et au-delà les frontières entre l'art et le monde, faisant du premier l'espacement d'un sens qui, bien loin de ne valoir que pour sa propre aventure et ouverture, vaudrait ou ferait tout autant sens pour le second. À savoir pour le monde, pour ce monde, dont le débordement du sens qui ne cesse de se produire à chaque fois dans les formes sensibles de l'art, constituerait sans doute aujourd'hui un évènement spéculaire ou une mise en perspective plus éclairante que celles respectives ou communes du religieux ou du politique.
Michel Gaillot, février 2014
Hugo Livet
Né le 29 Février 1988, vit et travaille à Clermont-Ferrand.
hugolivet@gmail.com
Sans titre -arborescence- (détail), feutre sur papier, 21x29,7 cm, 2013
Polypores résineux, résine acrylique, dimensions variables, 2013
Salpêtre, nitrate de potassium, dessins in situ à Novaciéries, Saint-Chamond, 2013
Exposition personnelle :
2010 - "Jungle", Bibliothèque de Beaumont, exposition permanente.
Expositions collectives :
2013
- “Tendu”, Centre Camille-Claudel, Clermont-Ferrand.
- “Avargues”, Rua do Sol, 172, 4000-528 Porto, Portugal.
- “ECHO(s))), une église, une usine, un musée...”, Résonance de la Biennale d’art contemporain de Lyon, Novaciéries, Saint-Chamond.
- “SO SCHOOL”, 58e salon de Monatrouge.
- “Les Enfants du Sabbat”, 14e édition, Le Creux de l’enfer, Centre d’art contemporain, Thiers.
2012
- “PREMIERE”, 18e édition, Abbaye St André, Centre d’art contemporain de Meymac.
- “A+”, ESACM, exposition des diplômés, commissariat de Philippe Eydieu, Clermont-ferrand.
Résidence :
2013 - Résidence estuarienne de Deauville.
Etudes :
2012 - DNSEP à l'ESACM de Clermont-ferrand, félicitations du jury.
Eric MAILLET
Vit et travaille à Paris
http://ericmaillet.net
Expositions et interventions personnelles
2014 (en préparation)
- Galerie MAD, Marseille (série de 6 expositions ; commissariat Jean-Louis Connan)
2012
- Bruits de couloirs, APDV Centre d’art (Yvon Nouzille), Paris
- Galerie de l’Ecole Supérieure d’Art de Clermont Métropole
2011
- Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Nancy
2009
- APDV, Paris (commissariat Yvon Nouzille)
- Portside Gallery Museum, Yokohama (Japon)
Editions
2014 (en préparation)
- Catalogue personnel, en collaboration avec la Galerie MAD et l’ESBAM
2012
- à entendre, lire, écouter, catalogue monographique sonore (édition ESACM, diffusion Tiramizu)
2006
- Catalogue monographique (co-édition La Box et Ec/arts)
Expositions de groupe récentes
2014 (en préparation)
- The Royal Standard, Liverpool (UK)
2013
- La vie des masques, Anywhere Galerie, atelier STU, Paris
- Pêche/Paysage, en collaboration avec Michel Gaillot et la participation d’étudiants de l’ESACM, ESACM, Clermont
- Le Pont, avec Susanne Strassmann, MAC Musée d’Art Contemporain, Marseille
- 777 n°7, Château de Kerpaul, Loctudy
- Incidence, APDV centre d’art, Paris
- Re-New 2013, festival d’arts numériques, Copenhague (Danemark)
2011
- Que fais-je ?, atelier EMSRSTC, Paris
- Le Bar du marché @ Console, Console, Paris2012
- LMQTP, espace d'exposition Synesthésie, Saint-Denis
- 777, Château de Kerpaul, Loctudy (résidence et exposition)
- MediaCity Seoul 2012, Biennale d'art media, Seoul, Corée du sud
- Mois de la photo, MEP, Paris
2010
- Festival Arabe, Montréal, Canada
- TOAD, La Vitrine, Paris
- Festival Humanity explored, Inde / USA / Nouvelle Zélande
- La blastula…, Espace Saint-Sauveur, Issy
- Atelier Tricycle, Marseille
2009
- La force de l'art, Grand Palais, Paris (à l'invitation de Synesthésie)
Sébastien Rémy
http://sebastienremy.net/
Né en 1983 à Paris
Vit et travaille à Paris
Expositions de groupe
2011
- Dans le magasin, Störk galerie, Rouen
commissariat : « Chez Edgar »
- Couvertures, compellations, ENSBA Lyon
commissariat : étudiants du post-diplôme de l’ENSBA
2010
- Repetition Island, Centre Pompidou, Paris
commissariat : Géraldine Longueville & Raimundas Malasauskas
- Safari, cneai=, Chatou
commissariat : Sylvie Boulanger, Sandra Cernjul, Madeleine Mathé
- En mai, fait ce qu’il te plaît…, Espace Synesthésie, Saint-Denis
commissariat : Anne-Marie Morice, Charline Guibert
- Passions, Bandjoun Station, Bandjoun (Cameroun)
commissariat : Barthélémy Toguo
- Panorama de la jeune création, Pavillon d'Auron, Bourges
commissariat : Dominique Abensour
- Suddenly, Last Summer, Beauchery Saint-Martin
- L.A.N.#1, Galerie Intuiti, Paris
commissariat : Cyril Verde
- Jeune Création 2010, 104, Paris
2009
- Mode d’emplois, Galerie Octave Cowbell, Metz
- Kiss Me Deadly, Mains d’Oeuvres, Saint-Ouen
invitation : Justin Meekel
- Bains Numériques, Centre Culturel François Villon, Enghien-Les-Bains
- Au mur, au sol, Les Cerclades, Cergy-Pontoise
2008
- Travaux en cours, Musée d’Arts Moderne de Saint-Etienne Métropole, Saint-Etienne
- Occupation(s) #4, Théatre des Louvrais, Pontoise
Publications, Articles
2010
- Portfolio, Transdigital Cookbook n°1, juin 2010
- L.A.N.#1, Edition Intuiti, mars 2010
Résidences
2010
- Synapse, Rueil-Malamaison
- Suddenly, Last Summer, Beauchery Saint-Martin
Formation
2009
DNSEP mention Félicitations, Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy, Cergy
2008
L1 informatiques/mathématiques, Université Paris VIII Saint-Denis, Saint-Denis
Marion Robin
http://www.marionrobin.fr/
:
sans titre, 2012
sol peint à partir d'une forme trouvée sur place
peinture acrylique, vitrificateur
vue de l'exposition Perceptions vives, la couleuvre, Saint Ouen
Harengs sec dans l'eau lisse, 2013/2014
impressions numériques sur bâche microperforée, installées sous la glace de la patinoire - 30 x 60 m - patinoire, Clermont-Fd - commanditaire : Clermont communauté
Formation
école Supérieure d’Art de Clermont Métropole
2004 DNSEP avec félicitations
Expositions collectives
2013
- The left over method, commissariat : Marion Daniel, Radiator Gallery, New York
- Dépaysement systématique, commissariat Marion Daniel, galerie Jean Fournier, Paris
- Des oeuvres qui prennent toute la place, commissariat Jean Christophe Arcos, galerie Bertrand Baraudou, Paris
2012
- Perceptions vives, commissariat Marion Daniel, La Couleuvre, Saint Ouen
- Les Hortillonnages d’Amiens – art, villes et paysages, commissariat Hubert Besacier2011
- NOël POur TOus, dans l’atelier d’Anne Marie Rognon et à la permanence, Clermont-Fd- Le bar du marché / Pas au-delà du vernissage, Console, Paris
Expositions personnelles
2015
- la Tôlerie, Clermont-Ferrand
2012
- 1/1, www.chez-Robert.com2011
- Café au lit, chez Andrea Weisbrod et Jens Emil Sennewald, Paris- Marion Robin à Pont-Aven, Centre International d’Art Contemporain, Pont Aven- Tratteggio, Le Grand Atelier, école Supérieure d’Art de Clermont Métropole2010
- Falexpo, Clermont-Ferrand2009
- Pollen, Monflanquin
Résidences
2011 Les Verrières – résidence-ateliers de Pont-Aven2009 Pollen, Monflanquin2008 Les Moyens du Bord, Morlaix, en duo avec Philippe Eydieu2006 Est-Nord-Est, St-Jean-Port-Joli, Québec2005 Subtil contexte, Le Vent des Forêts, Meuse
Commande publique
2013-2014 - Harengs sec dans l’eau lisse, intervention in situ à la patinoire, Clermont-Ferrand - commanditaire : Clermont Communauté, dans le cadre du projet2013-2016 - Art au Parvis – intervention in situ
Collection publique
Musée des Arts Décoratifs, département papier peint, Paris
Jean-Baptiste Sauvage
http://jb-sauvage.com/
Vit et travaille à Marseille, née le 2juin 1977 à Saint-Etienne / France
Blue line
2013
Marseille / Circuit P.Ricard. France
Projet in situ / Marseille 2013.
Objet: Série de marquages de bord de piste.
Projet: Reprendre, extraire des formes préexistantes, celles de plusieurs virages ou chicanes du circuit bordés de ces marquages au sol aux codes couleurs caractéristiques du Castellet, ces lignes colorées sont baptisées « Blue Line », sorte de bitume constitué de bandes ultra-adhérentes qui rattrapent les pneumatiques lors des sorties de piste et permettent aux pilotes de visualiser le tracé.
http://jb-sauvage.com/index.php?an=2013&projet=114
Alexandre Lavet
Vit et travaille à Bruxelles
http://alexandrelavet.fr/
Acte n°14
"Changer un tube de néon par une température différente de celle utilisée dans l’espace »
Vue de l’exposition Première Centre d’art BBB, Toulouse, 2014
Vides, 2011-2013 (en cours, sélection)
Ensemble d'images retouchées, issues d'Internet
Impressions pigmentaires jet d'encre sur Epson Archival Matte Paper
30 x 40 cm chacun
Vue de l’exposition XV de France, Grand Atelier, Clermont-ferrand
Formation
DNSEP à l'ESACM en juin 2013, Félicitations
Expositions personnelles
2012- Vacances d'été, www.nomore101.com
Expositions collectives
2013
- XV de france, Le Grand Atelier, Clermont-ferrand
- Travaux en cours / En cours de travaux, Musée d'Art Moderne, Saint-étienne
2012
- On est pas là pour vendre des cravates 2, chez Carole Manaranche, Lezoux
- Le livre préféré de Brigitte, 93.3 FM, Clermont-ferrand
- [...], avec Benjamin Aubertin, Galerie Ouverte, Clermont-ferrand
- Sur un trapèze, au moment, La Galerie, Nantes
- Le Bruit des images, Le Grand Atelier, Clermont-ferrand
Commissariats
2013- Sans titre(s), Grand Atelier, ESACM Oeuvres de la collection du FRAC Auvergne
Recherche
2012- Voyage de recherche Houston & Marfa, Texas, USA
2011- ARC Paysage Le Havre- ARC Photographie Dunkerque
2010- ARC Photographie Dunkerque
Philippe Eydieu
Né en 1979, vit et travaille à Clermont-Ferrand.
école supérieure d’art de Clermont communauté
philippe.eydieu (@) laposte
Philippe Eydieu, Forever young,2008: vidéo + catalogue raisonné de J. Mekas
Quelques expositions récentes
2011 Outwhere II - Delphine Rigaud + Philippe Eydieu
2009 In extenso / Programme Résonnance de la Biennale de Lyon, St-Etienne
2009 Espace Delrue, Nantes
2009 Dark Pearl, la Générale en Manufacture
2007 XS Paris - Fondation d´entreprise Ricard, Paris
2007 Mulhouse 07 (mention)
2006 Les enfants du sabbat 7 - Le Creux de l´enfer - centre d´art contemporain, Thiers
2005 PREMIERE ( 11e édition) - Abbaye St André - Centre d’art contemporain, Meymac
BORDURES
Philippe Eydieu, Alexandre Lavet, Hugo Livet, Eric Maillet, Sebastien Remy, Marion Robin, Jean-Baptiste Sauvage
VERNISSAGE LE VENDREDI 07.02 Á PARTIR de18h
EXPOSITION du 08.03 au 01.03.2013
En collaboration avec l’École Supérieure d’Art de Clermont Métropole
http://www.esacm.fr/
Au Syndicat Potentiel, 13 rue des couples à Strasbourg
T. +33 0(3) 88 37 08 72
"Bordures"
En premier lieu - et c'est donc là aussi un des enjeux ou du moins l'une des spécificités de cette exposition au "Syndicat Potentiel"-, du fait que tous les artistes qui y sont réunis sont ou récemment sortis d'une école d'art ou y sont eux-mêmes enseignants, il s'agit de donner à voir et à penser que ce qui se fait aujourd'hui dans ces lieux d'enseignements et de recherches ne relève pas seulement d'une propédeutique pédagogique permettant possiblement à ceux qui en sortent de rentrer, du moins "pour les meilleurs d'entre eux", dans le cercle fermé et sélectif du "monde" ou de la "scène" de l'art, mais participe déjà pleinement ou à part entière de ce qui ne cesse de s'ouvrir dans les formes que l'art ne cesse de créer. Ou dit autrement, est proposé ici d'expérimenter ceci que les formes sensibles qui sont produites dans ces écoles ne sont pas séparées catégoriquement par des frontières ou des bordures imperméables de celles qui valent aujourd'hui dans les lieux de reconnaissance ou d'élection que constituent les espaces institutionnalisés du monde contemporain de l'art.
Cela dit, sans prétendre que le travail respectif de chacun de ces artistes puisse s'y laisser réduire, ce qui a présidé à leur présence commune dans le cadre de cette exposition participe d'une approche ou d'une sensibilité artistique, telle qu'on peut déjà la voir à l'oeuvre dans bon nombre de leurs formes (notamment celles qui sont là présentées), qui relève de ce qu'on pourrait essayer de préciser sous ce terme de "Bordures".
En fait, ce titre "Bordures" est à entendre de multiples manières, à la mesure de l'ouverture du sens (en tous les sens du sens : sensible et intelligible, formel et conceptuel, plastique et esthétique...) que les propositions qui sont ici réunies, en s'en faisant l'espace d'accueil, laissent alors surgir et résonner en elles. Comme si déjà elles faisaient signe vers l'espace même de la représentation (celui-même du lieu), non pas directement comme un simple contenant ("White cube") qui pourrait alors indifféremment en exposer la présence, comme il le ferait en définitive avec tout autre type de propositions plastiques, mais plus précisément pour en avérer ou en révéler la nature même comme appartenant pour ainsi dire à part entière à ce qui s'ouvre en elles. Ou du moins comme si, en en traçant en quelque sorte les contours, elles incarnaient précisément elles-mêmes les bordures de cette ouverture. Car il n'est pas de sens qui ne s'ouvre, ne jaillisse et ne subsiste dans une oeuvre, sans une forme sensible qui en porte et en espace la venue (comme tel est le cas par exemple avec l'intervention de Hugo Livet à même le mur et le plafond de la galerie, où par des gestes singuliers il en vient à révéler l'espace même de représentation ou de monstration comme étant par, ou en lui-même, l'objet de cette représentation et dès lors comme étant la forme qui nous est là présentée et adressée).
Mais si cette notion de "bordures" fait en quelque sorte ici le lien ou le clinamen de ce qui réunit ces diverses formes plastiques, ce n'est en aucun cas pour en fixer ou en donner une signification (signification à partir de laquelle il serait du coup possible d'interpréter respectivement ou collectivement les enjeux plastiques, théoriques ou esthétiques de ces dernières...). Mais c'est déjà pour les situer ou situer leur ancrage dans l'horizon général de cette ouverture du sens au sein des formes sensibles qu'elles constituent à chaque fois singulièrement, en en assurant ou en en maintenant la venue en présence dans la matérialité même de leur espacement. Et cela afin que ce qui s'ouvre ou vienne là puisse venir faire sens sans se replier ou se fermer immédiatement sur lui-même, sans se réifier en une proposition dont la signification serait donnée et disponible, pour qu'enfin à l'ouverture qui est ainsi opérée ou formée, des bords lui soient assurés ou offerts. Ou dit autrement, en jouant quelque peu avec les mots, pour qu'au travers de ces formes plastiques, en elles ou par elles, voire comme elles, des bords durent et dans l'infini qui s'y maintient dès lors ouvert, du sens puisse venir nous y toucher.
Dès lors, pour que l'ouverture - en tous sens fouillée, infiniment creusée et de formes maintenue ouverte - ne puisse se fermer en une figure qui en dirait la totalité ou l'unité, qui en fixerait l'essence ou la vérité et en somme pour qu'en ces bordures de formes érigées, le sens - toujours singulièrement touché, accueilli ou invité en elles - ne cesse de venir, il s'avère nécessaire que cette incessante venue se fasse elle-même dans une forme qui en maintiendrait effective le jaillissement et l'accès. Ce qui précisément se fait dans ces formes sensibles et finies que, depuis les premiers traits de charbon gravés ou tracés sur les parois des grottes du Paléolithique jusqu'à aujourd'hui, nous identifions sous le terme d'oeuvres d'art. C'est en elles ou comme elles alors, dans leur espacement fini, que le sens infini vient à y passer et à "nous" y faire signe, sans que jamais cependant - bien que là à chaque fois résonnant - il ne puisse s'y fixer entièrement. Comme s'il était en fait toujours en débordement, dans tous ces bords incessamment formés, dont l'histoire de l'art nous livre en quelque sorte l'inépuisable renouvellement ou l'incessante renaissance, comme si dans ce passage incessant (dans toutes les formes, dans tous ces mots, ces sons, ces gestes ou ces images) il venait se présenter ou s'exposer, à "nous" ces passants qui sur ces bords, à l'accueillir et à le faire sentir ou toucher, en devenons les "passeurs".
S'y met alors en jeu "quelque chose" qui ne relève à proprement parler ni de ce qu'on nomme dans le lexique esthétique contemporain l'in situ, ni d'une simple critique du "White cube" où il s'agirait d'une énième tentative de critiquer, voire de subvertir les espaces "dédiés" ou "spécialisés" de monstration de l'art que sont les galeries, les musées et autres centres d'arts. Il s'agit plutôt dans cette exposition - notamment sur un mode quelque peu ironique ou sarcastique (comme avec le "Générateur de critiques d'art" de Eric Maillet ou avec la série de photographies "Vides" de Alexandre Lavet) ou sur un mode plus poétique (comme avec l'intervention sur place de Marion Robin, voire comme avec les installations vidéo respectives de Philippe Eydieu et de Jean-Baptiste Sauvage) ou encore sur le mode d'une mise en abîme fictionnelle de la figure de l'artiste-créateur (comme l'opère ici Sébastien Rémy avec la présentation de son site internet) - de considérer ce qu'on appelle communément "le monde" ou "la scène de l'art", y compris à travers ses lieux de monstration (comme en l'occurrence ici avec le Syndicat Potentiel), non pas seulement comme un espace "neutre" où l'art se donne à voir et s'adresse à un public, mais aussi ou surtout comme faisant également partie - dans ce qui s'y joue du point de vue intelligible comme sensible - de ce que les formes plastiques peuvent donner à voir ou plus généralement à sentir.
Au juste au lieu de sacraliser l'art en le maintenant isolé ou séparé du monde dans des lieux qui lui seraient précisément "dédiés", ces formes - sans cependant en faire leur thème ou leur question, c'est-à-dire sans prétendre relever d'un art dit "social", voire "politique" ou "subversif" - ne font au contraire que l'y convier ou l'y accueillir, comme si par là elles ouvraient en quelque sorte les murs et au-delà les frontières entre l'art et le monde, faisant du premier l'espacement d'un sens qui, bien loin de ne valoir que pour sa propre aventure et ouverture, vaudrait ou ferait tout autant sens pour le second. À savoir pour le monde, pour ce monde, dont le débordement du sens qui ne cesse de se produire à chaque fois dans les formes sensibles de l'art, constituerait sans doute aujourd'hui un évènement spéculaire ou une mise en perspective plus éclairante que celles respectives ou communes du religieux ou du politique.
Michel Gaillot, février 2014
Hugo Livet
Né le 29 Février 1988, vit et travaille à Clermont-Ferrand.
hugolivet@gmail.com
Sans titre -arborescence- (détail), feutre sur papier, 21x29,7 cm, 2013
Polypores résineux, résine acrylique, dimensions variables, 2013
Salpêtre, nitrate de potassium, dessins in situ à Novaciéries, Saint-Chamond, 2013
Exposition personnelle :
2010 - "Jungle", Bibliothèque de Beaumont, exposition permanente.
Expositions collectives :
2013
- “Tendu”, Centre Camille-Claudel, Clermont-Ferrand.
- “Avargues”, Rua do Sol, 172, 4000-528 Porto, Portugal.
- “ECHO(s))), une église, une usine, un musée...”, Résonance de la Biennale d’art contemporain de Lyon, Novaciéries, Saint-Chamond.
- “SO SCHOOL”, 58e salon de Monatrouge.
- “Les Enfants du Sabbat”, 14e édition, Le Creux de l’enfer, Centre d’art contemporain, Thiers.
2012
- “PREMIERE”, 18e édition, Abbaye St André, Centre d’art contemporain de Meymac.
- “A+”, ESACM, exposition des diplômés, commissariat de Philippe Eydieu, Clermont-ferrand.
Résidence :
2013 - Résidence estuarienne de Deauville.
Etudes :
2012 - DNSEP à l'ESACM de Clermont-ferrand, félicitations du jury.
Eric MAILLET
Vit et travaille à Paris
http://ericmaillet.net
Expositions et interventions personnelles
2014 (en préparation)
- Galerie MAD, Marseille (série de 6 expositions ; commissariat Jean-Louis Connan)
2012
- Bruits de couloirs, APDV Centre d’art (Yvon Nouzille), Paris
- Galerie de l’Ecole Supérieure d’Art de Clermont Métropole
2011
- Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Nancy
2009
- APDV, Paris (commissariat Yvon Nouzille)
- Portside Gallery Museum, Yokohama (Japon)
Editions
2014 (en préparation)
- Catalogue personnel, en collaboration avec la Galerie MAD et l’ESBAM
2012
- à entendre, lire, écouter, catalogue monographique sonore (édition ESACM, diffusion Tiramizu)
2006
- Catalogue monographique (co-édition La Box et Ec/arts)
Expositions de groupe récentes
2014 (en préparation)
- The Royal Standard, Liverpool (UK)
2013
- La vie des masques, Anywhere Galerie, atelier STU, Paris
- Pêche/Paysage, en collaboration avec Michel Gaillot et la participation d’étudiants de l’ESACM, ESACM, Clermont
- Le Pont, avec Susanne Strassmann, MAC Musée d’Art Contemporain, Marseille
- 777 n°7, Château de Kerpaul, Loctudy
- Incidence, APDV centre d’art, Paris
- Re-New 2013, festival d’arts numériques, Copenhague (Danemark)
2011
- Que fais-je ?, atelier EMSRSTC, Paris
- Le Bar du marché @ Console, Console, Paris2012
- LMQTP, espace d'exposition Synesthésie, Saint-Denis
- 777, Château de Kerpaul, Loctudy (résidence et exposition)
- MediaCity Seoul 2012, Biennale d'art media, Seoul, Corée du sud
- Mois de la photo, MEP, Paris
2010
- Festival Arabe, Montréal, Canada
- TOAD, La Vitrine, Paris
- Festival Humanity explored, Inde / USA / Nouvelle Zélande
- La blastula…, Espace Saint-Sauveur, Issy
- Atelier Tricycle, Marseille
2009
- La force de l'art, Grand Palais, Paris (à l'invitation de Synesthésie)
Sébastien Rémy
http://sebastienremy.net/
Né en 1983 à Paris
Vit et travaille à Paris
Expositions de groupe
2011
- Dans le magasin, Störk galerie, Rouen
commissariat : « Chez Edgar »
- Couvertures, compellations, ENSBA Lyon
commissariat : étudiants du post-diplôme de l’ENSBA
2010
- Repetition Island, Centre Pompidou, Paris
commissariat : Géraldine Longueville & Raimundas Malasauskas
- Safari, cneai=, Chatou
commissariat : Sylvie Boulanger, Sandra Cernjul, Madeleine Mathé
- En mai, fait ce qu’il te plaît…, Espace Synesthésie, Saint-Denis
commissariat : Anne-Marie Morice, Charline Guibert
- Passions, Bandjoun Station, Bandjoun (Cameroun)
commissariat : Barthélémy Toguo
- Panorama de la jeune création, Pavillon d'Auron, Bourges
commissariat : Dominique Abensour
- Suddenly, Last Summer, Beauchery Saint-Martin
- L.A.N.#1, Galerie Intuiti, Paris
commissariat : Cyril Verde
- Jeune Création 2010, 104, Paris
2009
- Mode d’emplois, Galerie Octave Cowbell, Metz
- Kiss Me Deadly, Mains d’Oeuvres, Saint-Ouen
invitation : Justin Meekel
- Bains Numériques, Centre Culturel François Villon, Enghien-Les-Bains
- Au mur, au sol, Les Cerclades, Cergy-Pontoise
2008
- Travaux en cours, Musée d’Arts Moderne de Saint-Etienne Métropole, Saint-Etienne
- Occupation(s) #4, Théatre des Louvrais, Pontoise
Publications, Articles
2010
- Portfolio, Transdigital Cookbook n°1, juin 2010
- L.A.N.#1, Edition Intuiti, mars 2010
Résidences
2010
- Synapse, Rueil-Malamaison
- Suddenly, Last Summer, Beauchery Saint-Martin
Formation
2009
DNSEP mention Félicitations, Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy, Cergy
2008
L1 informatiques/mathématiques, Université Paris VIII Saint-Denis, Saint-Denis
Marion Robin
http://www.marionrobin.fr/
:
sans titre, 2012
sol peint à partir d'une forme trouvée sur place
peinture acrylique, vitrificateur
vue de l'exposition Perceptions vives, la couleuvre, Saint Ouen
Harengs sec dans l'eau lisse, 2013/2014
impressions numériques sur bâche microperforée, installées sous la glace de la patinoire - 30 x 60 m - patinoire, Clermont-Fd - commanditaire : Clermont communauté
Formation
école Supérieure d’Art de Clermont Métropole
2004 DNSEP avec félicitations
Expositions collectives
2013
- The left over method, commissariat : Marion Daniel, Radiator Gallery, New York
- Dépaysement systématique, commissariat Marion Daniel, galerie Jean Fournier, Paris
- Des oeuvres qui prennent toute la place, commissariat Jean Christophe Arcos, galerie Bertrand Baraudou, Paris
2012
- Perceptions vives, commissariat Marion Daniel, La Couleuvre, Saint Ouen
- Les Hortillonnages d’Amiens – art, villes et paysages, commissariat Hubert Besacier2011
- NOël POur TOus, dans l’atelier d’Anne Marie Rognon et à la permanence, Clermont-Fd- Le bar du marché / Pas au-delà du vernissage, Console, Paris
Expositions personnelles
2015
- la Tôlerie, Clermont-Ferrand
2012
- 1/1, www.chez-Robert.com2011
- Café au lit, chez Andrea Weisbrod et Jens Emil Sennewald, Paris- Marion Robin à Pont-Aven, Centre International d’Art Contemporain, Pont Aven- Tratteggio, Le Grand Atelier, école Supérieure d’Art de Clermont Métropole2010
- Falexpo, Clermont-Ferrand2009
- Pollen, Monflanquin
Résidences
2011 Les Verrières – résidence-ateliers de Pont-Aven2009 Pollen, Monflanquin2008 Les Moyens du Bord, Morlaix, en duo avec Philippe Eydieu2006 Est-Nord-Est, St-Jean-Port-Joli, Québec2005 Subtil contexte, Le Vent des Forêts, Meuse
Commande publique
2013-2014 - Harengs sec dans l’eau lisse, intervention in situ à la patinoire, Clermont-Ferrand - commanditaire : Clermont Communauté, dans le cadre du projet2013-2016 - Art au Parvis – intervention in situ
Collection publique
Musée des Arts Décoratifs, département papier peint, Paris
Jean-Baptiste Sauvage
http://jb-sauvage.com/
Vit et travaille à Marseille, née le 2juin 1977 à Saint-Etienne / France
Blue line
2013
Marseille / Circuit P.Ricard. France
Projet in situ / Marseille 2013.
Objet: Série de marquages de bord de piste.
Projet: Reprendre, extraire des formes préexistantes, celles de plusieurs virages ou chicanes du circuit bordés de ces marquages au sol aux codes couleurs caractéristiques du Castellet, ces lignes colorées sont baptisées « Blue Line », sorte de bitume constitué de bandes ultra-adhérentes qui rattrapent les pneumatiques lors des sorties de piste et permettent aux pilotes de visualiser le tracé.
http://jb-sauvage.com/index.php?an=2013&projet=114
Alexandre Lavet
Vit et travaille à Bruxelles
http://alexandrelavet.fr/
Acte n°14
"Changer un tube de néon par une température différente de celle utilisée dans l’espace »
Vue de l’exposition Première Centre d’art BBB, Toulouse, 2014
Vides, 2011-2013 (en cours, sélection)
Ensemble d'images retouchées, issues d'Internet
Impressions pigmentaires jet d'encre sur Epson Archival Matte Paper
30 x 40 cm chacun
Vue de l’exposition XV de France, Grand Atelier, Clermont-ferrand
Formation
DNSEP à l'ESACM en juin 2013, Félicitations
Expositions personnelles
2012- Vacances d'été, www.nomore101.com
Expositions collectives
2013
- XV de france, Le Grand Atelier, Clermont-ferrand
- Travaux en cours / En cours de travaux, Musée d'Art Moderne, Saint-étienne
2012
- On est pas là pour vendre des cravates 2, chez Carole Manaranche, Lezoux
- Le livre préféré de Brigitte, 93.3 FM, Clermont-ferrand
- [...], avec Benjamin Aubertin, Galerie Ouverte, Clermont-ferrand
- Sur un trapèze, au moment, La Galerie, Nantes
- Le Bruit des images, Le Grand Atelier, Clermont-ferrand
Commissariats
2013- Sans titre(s), Grand Atelier, ESACM Oeuvres de la collection du FRAC Auvergne
Recherche
2012- Voyage de recherche Houston & Marfa, Texas, USA
2011- ARC Paysage Le Havre- ARC Photographie Dunkerque
2010- ARC Photographie Dunkerque
Philippe Eydieu
Né en 1979, vit et travaille à Clermont-Ferrand.
école supérieure d’art de Clermont communauté
philippe.eydieu (@) laposte
Philippe Eydieu, Forever young,2008: vidéo + catalogue raisonné de J. Mekas
Quelques expositions récentes
2011 Outwhere II - Delphine Rigaud + Philippe Eydieu
2009 In extenso / Programme Résonnance de la Biennale de Lyon, St-Etienne
2009 Espace Delrue, Nantes
2009 Dark Pearl, la Générale en Manufacture
2007 XS Paris - Fondation d´entreprise Ricard, Paris
2007 Mulhouse 07 (mention)
2006 Les enfants du sabbat 7 - Le Creux de l´enfer - centre d´art contemporain, Thiers
2005 PREMIERE ( 11e édition) - Abbaye St André - Centre d’art contemporain, Meymac